Que se passe t-il en France cette semaine ?
1- Côté Sport : les médailles françaises aux Jeux Olympiques de Tokyo.
La France se place 10ème du classement pour le moment avec 5 médailles :
1 médaille d’or en escrime (épée) gagnée par Romain Cannone
2 médailles d’argent en judo :
- 1 remportée par Amandine Buchard
- 1 autre par Sarah-Léonie Cysique
2 médailles de bronze
- 1 en judo (- 60 kg) remportée par Luka Mkheidze
- 1 remportée en escrime (sabre) par Manon Brunet
On espère bien sûr que le palmarès va s’étoffer bientôt !
2- Côté Culture : les rencontres photographiques d’Arles.
Une exposition d’oeuvres photographiques s’étend sur toute la ville jusqu’au 26 septembre. Il y a plus de trente expositions disséminées dans des lieux aussi différents qu’une école, une église ou un supermarché (Monoprix).
Quelques exemples :
masculinités, la libération par la photographie “Cette exposition majeure étudie la manière dont la masculinité a été codée, interprétée et construite socialement des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, par le biais du cinéma et de la photographie. Elle examine les représentations de la masculinité, rassemblant plus de 50 artistes, photographes et réalisateurs internationaux, dont Laurie Anderson, Sunil Gupta, Rotimi Fani-Kayode, Isaac Julien et Catherine Opie. Dans le sillage de #MeToo, l’image de la masculinité a été mise en lumière, et les concepts de masculinité toxique et fragile se sont infiltrés dans notre société. Cette exposition retrace les représentations souvent complexes et parfois contradictoires des masculinités, et la façon dont elles se sont développées et ont évolué avec le temps. Elle aborde les thèmes du pouvoir, du patriarcat, de l’identité queer, des politiques raciales, de la perception des hommes par les femmes, des stéréotypes hypermasculins, de la tendresse et de la famille, et examine le rôle critique que la photographie et le cinéma ont joué dans la manière dont les masculinités sont imaginées et comprises dans la culture contemporaine.”
l’orient express et Cie à l’espace Van Gogh "Objet technique devenu icône culturelle, l’Orient-Express a cristallisé une multitude de récits et de représentations basés sur des faits réels ou inventés. Or, avant de devenir un objet culturel, l’Orient-Express est d’abord le train d’une compagnie ferroviaire : la Compagnie internationale des wagons-lits. Exploité entre 1883 et 1977 et reliant Paris à Constantinople, puis Istanbul, il est le premier d’une série de trains de luxe internationaux. Sa création a constitué un tour de force diplomatique et économique à une période où le chemin de fer est utilisé comme un instrument au service du pouvoir politique des empires et États. Les photographies présentées dans l’exposition Orient-Express & Cie sont issues du fonds d’archives de l’ancienne Compagnie internationale des wagons-lits. Sauvegardés par d’anciens salariés, épreuves photographiques, mais également plans, cartes, dessins techniques ou encore brochures publicitaires inscrivent l’Orient-Express dans son contexte historique global. Si la plupart des photographies sont anonymes, d’autres sont signées de célèbres ateliers tels Paul Nadar, Albert Chevojon ou encore Sébah & Joaillier.”
Pour la liste complète des expositions : cliquez ici.
Pour la carte de la ville et des expositions : cliquez ici.
3- Côté Société : les grands départs en vacances
Ce week-end était classé rouge selon Bison Futé* : il y a eu plus de 1000 km de bouchons* dans toute la France.
C’est beaucoup, mais ce n’est pas si exceptionnel. Tous les ans en été les français partent en vacances et un des moyens de transport privilégié est la voiture. Les destinations classiques des vacances d’été sont le pourtour Méditerranéen, la montagne (les Alpes ou les Pyrénées) et la Bretagne.
*Bison futé est le nom donné à la mascotte du site officiel du gouvernement chargé de prévenir et de surveiller la fluidité des déplacements en voiture en France.
* “Un bouchon se défini comme étant l’accumulation de véhicules progressant à une allure très lente et par bonds, sur une ou plusieurs files continues et sur une distance d’au moins 500 mètres.
Les bouchons se quantifient en volume d’encombrement et s’expriment en heures.kilomètres (HKM). Le volume est calculé ainsi : produit de la durée du bouchon (exprimé en heures) par la longueur moyenne (exprimée en km) ramenée à une file.”
Pour aller voir le site de Bison Futé :
Comments